Dans son nouveau roman, Aurélien Bellanger revient, par l’intermédiaire de la fiction, sur les années 2010, celles des attentats et, à leur suite, du Printemps républicain, en partie responsable de la constitution d’une « religion laïque » intolérante envers
les musulmans que le macronisme triomphant n’a pas manqué de reprendre à son compte. Un livre qui gagne à être lu par les chercheurs en sciences sociales, à moins que ce ne soit l’inverse.
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